La Prise de Parole en Public

La parole professionnelle est un outil de l’action.  Pour faire avancer les idées et les hommes. Pour valoriser un projet, pour motiver les équipes et pour faire valoir la marque.

Il y a des règles à appliquer que l’école ne nous a pas appris.

Mes formations à la prise de parole en public intéressent : l’encadrement, les responsables, les communicants, les collaborateurs…

C’est à dire :

• Toute personne amenée à prendre la parole au sein de l’entreprise.
• Toute personne mandatée pour représenter l’entreprise à l’extérieur et parler en son nom.

Des exposés percutants
Des clients convaincus
Un gain de participation
Une parole plus libre
Du temps économisé

Objectifs détaillés :

• Faire vivre la parole au sein de l’entreprise.
• Valoriser la personne de l’orateur en le sécurisant sur sa voix et ses appuis
• Obtenir des prises de parole mieux calibrées pour des objectifs plus clairs
• Gagner du temps en suivant un modèle de présentation préétabli
• Initier chacun à communiquer avec efficacité sur son potentiel ou ses idées
• Poser et élargir la posture de l’orateur « soliste », maitre de ses émotions
• Utiliser les émotions au service de la relation client
• Se servir de la voix et du souffle pour la conduite de groupe
• Encourager les meilleurs à cultiver leur charisme
• Cultiver le Mieux disant vers le client.

Vaincre sa timidité / S’affirmer

La clarté de l’expression est parfois cachée ou brouillée par la timidité ou la gêne.
La timidité est une vieille habituée des prises de parole où elle a coutume de mettre l’orateur mal à l’aise.  Dans ses petits souliers comme on dit. Et qui dit petits souliers, dit petite bouche, petite voix, petits bras…

Regagner cette confiance est une urgence. S’affirmer !
C’est l’un des premiers objectifs de la formation Prendre la parole en public. A partir de là, nous reconstruisons l’édifice de la personne debout et qui fait face. Par la posture intérieure et l’expression extérieure.

Poser sa voix / Parler en public

Le manque de pratique ou d’éducation nous voit désarmés quand il s’agit de parler en public.  C’est qu’en dehors d’un vague cours de chant à l’adolescence, on ne sait en général rien de la « machine à parler » qui est en nous. Rien de la respiration, de l’élocution, du phrasé, de la modulation…

C’est pourtant simple, il suffit de le faire une fois pour l’inscrire à notre programme de vie et ainsi progresser sans même parfois s’en apercevoir.

Une bonne diction

Il apparaît évident qu’il faut bien dire pour être bien compris. Il n’empêche que la diction est en général le point faible de l’expression parlée, en général. C’est que nous n’avons pas d’entrainement. Et qu’à cela s’ajoute une diction, familière, relâchée qui n’aide pas à la tonicité du propos. D’où ces discours mous, ennuyeux, monocordes … D’où ces réunions qui s’éternisent parce que mal structurées, sans colonne vertébrale, sans souffle, sans impact.

Encadrer, diriger

Encadrer, diriger, accompagner ou motiver une équipe implique de « savoir parler » pour être non seulement entendu et compris mais aussi pour impulser.
Cela signifie, « être clair dans sa tête », être clair dans  ses mots et dans sa voix. Car chaque flottement ou imprécision dans l’énoncé du message, est répercuté en autant d’appel au flou ou à l’inertie.
Dans l’entreprise française, ce sont des centaines de milliers d’heures perdues. Des consignes mal perçues, des ordres non compris qu’il faut répéter et répéter.  Soit beaucoup de temps perdu et autant d’argent gaspillé.

Réveiller les énergies

La parole peut stimuler ou ennuyer.
L’ennui c’est par exemple trois personnes qui enchainent chacune un exposé fade sur un ton égal, dès le lundi matin. Quand il faudrait au contraire réveiller les énergies et booster les décisions.

On le sait mais on n’en fait rien. Parce que le rythme dans la parole n’est pas acquis.
Cela s’analyse, se développe et se construit. J’ajouterai que le rythme est aussi un muscle du mental. Qui s’oppose à la paresse de l’habitude.

Notons que plus il y a de rythme dans l’expression, mieux elle accroche, et moins on se fatigue.

Avoir un objectif / le Non verbal

Le rythme est donné par l’intention du message et le phrasé de la personne. C’est à dire sa façon de respirer, de bouger, de faire des gestes en parlant.

Si l’objectif est incertain le corps est incertain et l’énergie absente. Et tout ce qui se dégage de la personne « n’y croit pas ». La bouche parle mais le corps n’y croit pas. C’est comme si vous affirmiez une chose et que dans votre dos quelqu’un dise : « C’EST PAS VRAI !!! »

C’est ce qu’en communication on appelle : le non verbal.

Accrocher l’attention

C’est dans le rythme d’une pensée engagée que le corps s’engage.
Nous y travaillons dès l’entrée en situation. Dès les premiers mots d’une intervention. Même en réunion. Même en B to B.  Chaque prise de parole en situation est un acte qui engage l’entreprise.

Chaque prise de parole est un enjeu. Avec bénéfice.

Le charisme. Entrainer les autres.

Une parole qui avance fait avancer les autres. Partenaires, clients ou public. C’est ce que nous enseigne l’exemple des grands orateurs. De tous temps.

C’est aussi ce qui défini le charisme.
Chacun à sa façon à son rythme avec ses qualités peut accéder à sa forme de charisme.
Il n’est pas nécessaire d’être exceptionnel ou doté de pouvoirs spéciaux.
Le charisme est propre à chaque personne vivante en cohérence avec elle même.

Ensuite il s’agit de posséder les outils d’une expression élargie. De se préparer et s’entrainer pour cela. Pas à pas. En confiance. En utilisant la notion de miroir positif.
C’est l’enseignement, le temps d’un séminaire en entreprise.

Informer / Convaincre, émouvoir

Emotion vient de « é-mouvoir » : mettre en mouvement.
Mettre en mouvement l’écoute, intéresser, accrocher, convaincre, c’est là l’intérêt bien compris de la gestion des émotions. L’émotion souvent vécue comme une menace est pourtant notre meilleure alliée. Il suffit de savoir l’écouter, et la conduire.

L’émotion est donnée par le contenu du message bien sûr.
Mais elle est essentiellement donnée par la personne qui s’exprime. Sa posture, son phrasé, son intonation, sa « présence » ou son charisme.

C’est ce qu’il convient de développer dans toute formation sur la prise de parole en public.

Apprendre à bien respirer

La clé du système émotionnel repose sur la gestion de la respiration.
Les sportifs au plus haut niveau le savent bien et s’entrainent dans ce sens.

Tant que la personne n’a pas vraiment visualiser le processus respiratoire en cours elle est en quelque sorte « victime » des son propre aveuglement. A la merci du va et vient des événements extérieurs : contexte, opinions d’autrui, obstacles, gênes, etc.
A la merci de son propre mental. Son « meilleur ennemi » bien souvent.
Il est important de se libérer de cette « camisole » invisible.
C’est « bon pour le moral » ! Et excellent pour la santé (antistress)

La performance ou la réussite sont à ce prix.

Combattre le stress

80% de notre population vit avec le stress.
Même si l’entreprise n’est pas le lieu dédié pour traiter de la question elle peut aider à l’alléger…  Au moins ne pas en rajouter…

Pour cela le travail sur soi, qu’il s’agisse de mieux respirer pour parler en public ou pour moduler sa voix au téléphone, interfère directement avec le mieux être de la personne.

Le stress participe de la posture intérieure de la personne, de sa respiration et bien sûr de sa gestion des événements extérieurs.

Le simple fait de se pas « coller » aux émotions et de se doter d’outils bien connus des sportifs et des professionnels est d’un apport considérable. L’entreprise y gagne en santé et la relation client en est renforcée.